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  • Permanence du vendredi 30 juin 2006

    La permanence sera assurée de 20h30 à 22h30, ce sera une des dernières de la saison 2005-2006.

    Garçons et filles sont bienvenus, d'autant plus que notre trésorière et notre présidente seront présentes. Si, si, en personne! Quelle chance!

    Et puis vous pourrez même en profiter pour payer vos cotisations en retard. Oui, oui, aussi! Comment ça, ça fait déjà un an? Et oui à Idem, on ne sent pas le temps passer!

    Quant à vous - oui vous là-bas - ne vous cachez pas, on vous a vu, allez, osez vous joindre à nous, ici on rigole bien et on s'intéresse à beaucoup de choses. Vous trouverez certainement quelqu'un avec qui discuter!

  • Gaylib

    France: le débat sur le mariage gay s’invite aussi à droite

    MONDE - PRESIDENTIELLE

    Le mouvement GayLib tente de faire entendre sa voix dans le parti de Sarkozy. Pas simple.

    PARIS/MATHIEU VAN BERCHEM
    Publié le 23 juin 2006

    «Je me tue à expliquer aux élus que la question du mar iage homosexuel va peser sur l'élection présidentielle.» Cet après-midi, Stéphane Dassé s'en ira parader à la Gay Pride parisienne. Cet homme rangé, approchant la quarantaine, et qui n'a rien du militant subversif, animera le char de Gaylib, mouvement qu'il a fondé avec d'autres il y a quatre ans. «Nicolas Sarkozy nous a encouragés à y aller cette année», confie le conseiller exécutif de l'UMP.

    Homosexuel, partisan du mariage gay… et de droite. Le choix ne va pas de soi, dans un grand parti encore marqué par un certain traditionalisme sur les questions de mœurs. Il y a huit ans, le débat sur le PACS avait provoqué... (la suite)
  • Une vague de fond!

    vendredi 23 juin 2006, mis à jour à 09:06

    Gay pride

    medium_homoparentalite.jpg

    Le casse-tête homo par Marie Huret, Jacqueline Remy

    A un an de la présidentielle et à l'occasion de la Marche des fiertés, demain, le débat sur l'homoparentalité a fait une entrée fracassante sur la scène politique. A gauche comme à droite, chacun est sommé de prendre parti. 

     

    'est une vague de fond. La cause homo déferle sur la classe politique, emportant au passage toutes les réticences, toutes les précautions. L'un après l'autre, les élus baissent la garde, sur le ton du «pourquoi pas?». Il y a vingt-cinq ans, l'homosexualité était encore inscrite dans la nomenclature des «désordres mentaux». Aujourd'hui, les politiques se disent: pourquoi, après tout, ne pas laisser les gays se marier? Pourquoi ne pas parrainer l'homoparentalité?

    ... (la suite) 

     

  • En France, c'est depuis 1981!

    La Gay Pride 2006 demande l’égalité maintenant !

    Cette année, le mot d’ordre pour la Marche des fiertés lesbiennes, gaies, bi et trans demande une réelle égalité de droits autour notamment du mariage et de l’homoparentalité. Au programme de cette édition, les revendications :

    • Lutter contre les discriminations : Les associations gay, lesbiennes, bi et trans demandent que se poursuivent la lutte contre les discriminations (extension du principe d’égalité de la Constitution française sans distinction d’orientation sexuelle, d’identité de genre, ratification du protocole de la Convention européenne sur l’interdiction générale de la discrimination, facilitation des procédures de changement d’état civil pour les trans et meilleure lutte contre la discrimination des personnes vivant avec le VIH).
    • Combattre l’homophobie, la lesbophobie et la transphobie : Au-delà des deux lois adoptées en 2000 et 2003, les associations demandent d’accorder le droit d’asile aux personnes persécutées en raison de leur orientation sexuelle ou de leur identité de genre et de lutter contre toutes les discriminations en éduquant notamment au respect de la diversité des sexualités et des identités de genre.
    • Reconnaître la diversité des unions et réformer la famille : Ils demandent une réforme du pacs (signature en mairie, fiscalité) et la suppression des différences avec le mariage, ainsi que la réforme le code civil pour ouvrir le mariage et l’adoption d’enfants aux couples de même sexe ou aux personnes célibataires, et assurer l’égalité d’accès aux procédures de procréation médicalement assistée.

     

  • L'homoparentalité, ou la famille à recomposer

    LE MONDE | 22.06.06 | 15h03  
        
    Comment livrer son expérience de père homosexuel, à un an de l'élection présidentielle et alors que le Parti socialiste a inscrit l'homoparentalité dans son projet pour 2007 ? Comme un ballon d'essai aux lecteurs, qui sont aussi des électeurs.

    Mieux qu'un sondage, l'ouvrage de Christophe Girard suscite des réactions en tout genre et en direct : "Un patron m'appelle parce que sa fille est lesbienne et veut pratiquer l'insémination artificielle ; un homo immigré me remercie de lui donner un peu d'air... Ces derniers jours, trois femmes m'ont même proposé que je sois le père de leur enfant !", s'exclame l'adjoint à la culture du maire de Paris, Bertrand Delanoë.

    Une mine pour Ségolène Royal, qui travaille avec M. Girard sur ces questions et se dit prête aujourd'hui à porter une telle réforme, sans brusquer l'opinion.

    Le livre sort au bon moment. Fin 1998, M. Delanoë, alors sénateur, avait fait son coming out en révélant son homosexualité, avant d'entrer en campagne pour les élections municipales. Aujourd'hui, M. Girard, passé des Verts au PS, lève un nouveau tabou en livrant un témoignage, sobre, de sa relation avec son fils, né d'une aventure avec une femme au début des années 1980.

    L'ouvrage a été largement médiatisé. Claire Chazal l'a présenté à la fin du journal télévisé, sur TF1, un dimanche soir. Cerise sur le gâteau, un groupe de 289 parlementaires (UMP et quelques UDF, comme le porte-parole François Sauvadet) a réagi en dénonçant une "apologie de l'homoparentalité". Merci de raviver le clivage droite-gauche, leur répond Christophe Girard, qui a toutefois reçu "un petit mot sympathique de Nicolas Sarkozy".

    Au-delà du récit personnel, M. Girard affirme que l'égalité sexuelle, loin d'être une préoccupation de nantis, est un enjeu social (coup de coude à la gauche). Il observe ainsi des "régressions" et voit se développer "une nouvelle homophobie et une nouvelle misogynie, doctrinales (...), qui se propagent peut-être plus facilement encore dans les milieux défavorisés". "Quand verra-t-on la fin de ces bricolages pour avoir un enfant ?", s'interroge-t-il, en évoquant ces couples homosexuels qui partent à l'étranger pour pratiquer l'insémination artificielle ou avoir recours aux services d'une mère porteuse. C'est, selon lui, "la porte ouverte à la discrimination par l'argent, donc à l'injustice". L'école a un rôle à jouer en présentant aux élèves "les différents modèles sociaux et familiaux".

    La famille doit être "réinventée". "Presque partout dans le monde, une grand-mère, des soeurs, une mère se partagent l'éducation des enfants sans que la figure masculine n'intervienne. Quel est cet obstacle invisible auquel sont confrontés les pères et leurs enfants ?" A chacun de "composer" sa famille, plaide Christophe Girard, qui a eu des enfants en tutelle.

    Son compagnon "fait un peu figure d'oncle" pour son fils. "Juger d'emblée que ce modèle ne permet pas à l'enfant de s'épanouir est un peu rapide, un peu creux", dit-il. "De fait, les référents masculins/féminins sont partout, dans les journaux, à la télévision, dans les magasins, à l'école, sur le palier (...) Je considère que l'on doit habituer le plus possible les enfants à vivre aussi à l'extérieur du cercle familial", affirme M. Girard, qui lâche le mot : "pluriparentalité".

    En annexe, il propose de modifier des articles du code civil, relatifs au mariage et à l'autorité parentale. "Ce qui changerait la vie" (clin d'oeil au slogan de François Mitterrand, en 1981).

    M. Girard aurait-il envie de devenir, un jour, ministre des familles?
    PÈRE COMME LES AUTRES de Christophe Girard. Hachette Littératures, 94 pages, 8 €.
    Clarisse Fabre
    Article paru dans l'édition du 23.06.06

  • Royal défend l'union et l'adoption gays!

    NOUVELOBS.COM | 19.06.06 | 17:16

    Après des années de réticence, la candidate à la candidature socialiste a changé d'avis.

    Ségolène Royal (Sipa)
    Ségolène Royal (Sipa)

     

    A près des années de réticences, Ségolène Royal se déclare désormais en faveur du mariage entre personnes de même sexe et du droit à adopter pour les couples homosexuels.
    Dans un entretien accordé au magazine Têtu, qui sort mercredi 21 juin, l'ancienne ministre de la Famille revendique ces évolutions de société au nom de la lutte contre les discriminations et en vue de l'avènement d'une "République du respect".
    "L'essentiel, c'est l'égalité des droits et des dignités et la possibilité donnée à chacun d'assumer sa liberté", explique la "présidentiable" socialiste préférée des sondages.
    "Si une majorité de gauche est élue (en 2007), elle votera un texte mettant en application ce projet", promet-elle. Il faut que la loi permette le mariage homosexuel "mais sans l'imposer comme norme".

    ... (la suite)

  • Permanence du vendredi 23 juin 2006

    La première de l'été, en pleine Gay Pride, alors on vous voit quand?

    Comment ça je-sais-pô?

    Et pourquoi pas ce soir?

    Hein?

    Ca y est, vous vous décidez je le sens... Meuh oui, y a que le premier pas qui coûte. Ben voyez, c'est pas si dur!

    Bonjour vous! Comment ça va toi?

    Une toile, une expo, un restau ensemble? Un aller et retour à la plage ce week-end, une rando?

    Allez pourquoi pas, ça sera sympa! Pourquoi pô? 

    Ah c'est si bon de rencontrer du monde et de pouvoir agrandir ses horizons!